Né au Petit Bayonne il y a (trop) longtemps, les Halles ont représenté l'univers de mon enfance, puis mon périmètre s'est agrandi à la ville entière et à son Histoire.
Mon objectif : Que ceux qui ont connu cette époque sachent que d’autres ne l’ont pas oubliée, et pour que les plus jeunes sachent comment l'ont connue ceux qui l'ont vécue ;-)
Très accaparé par mes obligations professionnelles, je n’ai pu publier d’articles sur les Bayonnades depuis un certain temps.
Ayant trouvé une « fenêtre », je vous ai concocté une petite vidéo qui devrait vous faire plaisir et vous intéresser.
Au fil des années j’ai pu rassembler un nombre relativement important d’anciennes photos de Bayonne en noir et blanc, dont certaines sont très connues, puis j’ai utilisé l’intelligence artificielle pour leur donner quelques couleurs…
Ce qui nous donne un résultat inédit ! Eh oui, il faut vivre avec son temps !
Je vous laisse découvrir le résultat dans cette vidéo, essayez de me dire si cela vous plait, si c’est le cas, j’en publierai d’autres.
Important : Merci de patienter quelques instants, il se peut que la vidéo prenne quelques secondes pour s’afficher.
Vous venez de lire “Anciennes photos de Bayonne Colorisées »
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Quelque peu refroidi par son palmarès d’exploits mémorables sur le carreau des Halles Bayonnaises (voir articles dédiés 1234), et surtout ne trouvant plus un seul employeur susceptible de faire appel à ses innombrables talents, notre Riton disparut purement et simplement de la circulation.
Un midi en passant devant « Le Clou », quelle ne fût pas ma surprise d’apercevoir le lascar en train d’échanger avec des clients de l’établissement, le verbe tout aussi haut que son menton.
Retrouvailles
Content de le voir, je m’empresse d’aller lui serrer la main…
« Alors Riton qu’est-ce que tu deviens ? On te croyait parti sous les tropiques ! »
« Oh tu sais, les Halles ne me correspondaient plus, non pas une question de standing, mais tout de même… »
« Ok merci ça fait toujours plaisir, mais qu’est-ce que tu deviens ? »
« Bon je te file l’info, mais tu la garde pour toi ok, c’est très confidentiel, et je veux être le seul à annoncer l’évènement… »
« Ok comptes sur moi, et alors… ? »
« Je suis en train de suivre une formation de haut niveau pour devenir responsable commercial dans les assurances, rien que ça ! »
« C’est génial, mais comment tu as fait avec juste ton BEPC ? »
« Oh c’est simple, j’ai rencontré mon directeur, un peu de bagout, quelques coups d’esbrouffe, et sans doute a-t-il aussi remarqué une certaine prestance… »
« Ah ouais, je ne savais pas que la modestie était une qualité requise pour devenir responsable dans ce métier ! »
« Bon c’est pas tout, j’ai à faire moi ! À bientôt ! » De nos jours on appelle ça « un vent ».
Les semaines qui suivirent furent marquées par l’absence totale de Riton dans les « Chapelles » du Petit Bayonne, chose d’autant plus étonnante que celui-ci est friand d’une certaine boisson anisée…
Le retour…
Un beau matin, mon collègue Gilbert et moi virent arriver sur le pont Marengo une silhouette qui de loin ressemblait plus à un dandy façon old school, qu’à l’ancien ripeur des Halles que nous connaissions.
Plus il s’approchait, plus nous avions l’impression que notre Riton n’était pas devenu simple « responsable commercial », mais plutôt PDG !
Il ne lui manquait que la canne en acajou avec pommeau d’argent, mais il n’y avait sans doute pas encore pensé, sinon…
« Alors les gars, toujours dans vos cageots ? » nous lança-t-il d’un air aussi hautin que malicieux.
« Comme tu vois, mais toi ? Ça y est tu as commencé ? » Curieux que nous étions face à ce Lord capable de faire pâlir James Bond lui-même.
« Depuis ce matin, je suis officiellement représentant exclusif de la compagnie, ce qui veut dire costards pour la classe, plus de xoxas à la fin du mois, et surtout pas de patron derrière pour me surveiller, voyez ce que j’veux dire ? »
« Euh pas vraiment mais tu va nous expliquer tout ça… »
« Sans doute oui, mais pas aujourd’hui, je suis très pris, allez… salut les gars »
Le regard de Gilbert croisa le mien juste avant que nous n’éclations tous les deux dans un fou rire difficile à réprimer.
Quelque temps après…
Quelque temps après, je croise notre dandy en train de siroter un anis dans une chapelle du Petit Bayonne plus connue alors sous le nom de « La Cueva ».
Lorsqu’il me vit, il m’invita à me joindre à lui.
« Dis-moi tu n’as pas l’air très en forme Riton, tout va bien ? »
« Ben… c’est-à-dire que malgré mes atouts, les clients ne sont pas faciles à convaincre, et puis tu sais, le porte à porte c’est pas gagné aucun client ne m’a encore laissé entrer, du coup heureusement que j’ai mon fixe sinon… »
« Tu peux pas te faire aider par quelqu’un de la compagnie ? »
« Ah ça non alors ! Je vais pas me rabaisser à quémander un quelconque soutien ! Bon il faut que je te laisse, j’ai à faire »
Environ 2 mois passent et je vois arriver mon Riton aux Halles…
« Je peux te parler ? »
« Oui qu’est-ce qu’il se passe ? »
« Suis-moi ne restons pas là, les murs ont des oreilles… »
Il m’emmène jusqu’au bord de la Nive au niveau du Stock Américain, jugeant sans doute l’endroit plus propice aux confidences.
« J’ai de gros gros emm.rdes avec ma banque, y me disent que je suis à découvert et qu’ils vont me virer !!! tu vois le tableau ? Me virer à moi… la banque ! »
« Mais tu travailles, tu as un salaire, qu’est-ce qui cloche ? »
« Comprend pas, la compagnie me verse mon salaire fixe depuis 3 mois, j’ai pas plus que le fixe parce que ces @!ù$* de clients ne comprennent rien à rien ! De véritables bourrins, du coup je vend pas, du coup pas de xoxas en plus »
« Tu es bien sûr qu’il n’y a pas d’erreur ? Que la compagnie a tes bonnes coordonnées bancaires ? »
« Si j’en suis sûr ? Tiens regarde j’ai même les reçus dans mon cartable ! »
Hallucinant !
Il me tendit les 3 « reçus »… et là… je n’en crut pas mes yeux en découvrant que les fameux « reçus » de la compagnie étaient en réalité les chèques de salaire de notre Riton !!! !
Persuadé qu’il s’agissait uniquement de reçus, il les conservait précieusement comme éventuels justificatifs en cas d’un tout aussi éventuel contrôle fiscal… Précaution élémentaire due à son nouveau statut social.
« Riton, tu sais que tes reçus sont en réalité des chèques et que tu dois les déposer à la banque afin de créditer ton compte, là en fait, tu as entre les mains tes 3 mois de salaire, je comprends mieux la réaction de ton banquier ! »
« Quoi ??? Tu es sûr de ça ??? Pourquoi y m’ont rien dit ??? Bon… j’y vais j’ai à faire !!! »
« Oui à faire et surtout à faire vite ! »
Riton repassa me voir une heure après pour me remercier tout en m’expliquant que ça s’était arrangé, et qu’on ne l’y reprendrait plus !
Précision
Il est vrai que fin des années 70 beaucoup de Bayonnais (notamment) n’avaient pas de chéquier, ni même de compte bancaire, ce qui peut expliquer la bévue de notre inimitable Riton.
Y veut aussi me virer !
Une semaine après, notre commercial de haut vol débarque au café du midi, on remarque tout de suite qu’il a quelque peu perdu de sa superbe, le menton moins haut, la cravate de travers, mais l’œil toujours aussi vif…
« Après le banquier la semaine dernière, maintenant c’est le patron qui menace de me virer ! »
« Faut dire que de ce point de vue tu as une certaine expérience non ? » lui dis-je en souriant.
« Ouais mais là, moi aussi j’en ai marre ! Hier en faisant ma tournée de porte à porte à Saint Esprit, je « tire une sonnette », la femme m’ouvre avec un grand sourire, son mari derrière elle idem, et à ma grande surprise ils me font entrer… »
« Et alors, c’est bon pour toi ça non ? »
« Euh… ouais… ouais, je leur ai fait mon speech, ils continuaient à sourire contrairement à tous les autres avant eux, là… je me suis méfié… »
Et alors ?
« Alors ? C’étaient des « Témoins de Jéhovah » et non seulement ils m’ont rien acheté, mais en plus ils ont réussi à me fourguer un de leurs bouquins !!! Je suis sorti de là écœuré de la vente, parole ! »
« Ah ouais, effectivement, peut-être qu’il faudrait utiliser tes compétences ailleurs, je sais pas moi… aux Halles ? »
Cette dernière phrase fit bondir Riton qui détalla aussi sec, sans doute hautement vexé par ma suggestion.
Ainsi s’arrêta net la carrière commerciale de notre Riton favori, 2 semaines plus tard il était de retour aux Halles embauché par un grossiste d’Agen qui n’avait pas encore eu vent de sa réputation, mais ça c’est une autre histoire…
Vous venez de lire “Riton un commercial hors compétition !”
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Une fois n’est pas coutume, mais je vais faire un peu de pub, pub oui mais pas n’importe laquelle, c’est pour la bonne cause !
Ce weekend de Pintxo Eguna à Bayonne est pour moi l’occasion idéale de répondre à la demande de Florent LORBLANCHES président de la « Peña Y ».
En effet ce dernier m’a informé que les membres de sa Peña ont créé une affiche sur les Peñas Bayonnaises.
La vente de ces affiches soutiendra des actions caritatives Bayonnaises.
Voici le descriptif, il existe 4 tailles d’affiches :
L’AFFICHE AUX PORTES DES PEÑAS BAYONNAISES 30 cm / 40 cm
Format largeur (30 cm) hauteur (40 cm) Poids/ex. : Environ 30 g Papier : novatech, 250 g/m² Impression : quadri recto
L’AFFICHE AUX PORTES DES PEÑAS BAYONNAISES 50 cm / 70 cm
Format : largeur (50 cm) hauteur (70 cm) Poids/ex. : Environ 85 g Papier : novatech, 250 g/m2 Impression : quadri recto.
FORMAT PAYSAGE – 60/20 – AFFICHE AUX PORTES DES PEÑAS BAYONNAISES 60 cm / 20 cm
Format largeur (60 cm) hauteur (20 cm) Poids/ex. : Environ 30 g Papier : novatech, 250 g/m2 Impression : quadri recto
FORMAT PAYSAGE – 95/33 – AFFICHE AUX PORTES DES PEÑAS BAYONNAISES 95 cm / 33 cm
Format : Largeur (95,0 cm) Hauteur (33,0 cm) Poids/ex. : Environ 85 g Papier : novatech, 250 g/m2 Impression : Quadri recto
Hormis ce superbe cadeau que l’on peut se faire ou faire à son entourage, pour un prix tout à fait abordable, je vous rappelle que la vente soutiendra des actions caritatives Bayonnaises.
Voici la 6ème édition de la série de quiz « Parlez-vous le Bayonnais d’antan ? »
Vous avez été des milliers à avoir fait les 5 premiers quiz sur ce même thème !
Comme cela vous a plu et que le dernier date de plusieurs mois, je vous ai concocté un 6ème volet qui devrait vous amuser, du moins je l’espère !
Il s’agit de termes et d’expressions de l’époque qui étaient très couramment utilisés jusqu’à la fin des années 70 voire début 80.
Pour les jeunes et… les plus anciens !
Comme pour les précédents Quiz sur ce thème, les plus anciens vont sans doute se souvenir de la plupart.
Pour les plus jeunes, vous apprécierez, je l’espère de découvrir le parler de vos ainés il n’y a finalement pas si longtemps.
Et, comme je vous l’ai déjà dit, les scores ne sont pas le plus important, l’objectif étant de se divertir tout en apprenant ou en se rappelant ce fameux langage Bayonnais qui nous était si cher !
Je vous souhaite de bien vous amuser, et à très bientôt pour de nouveaux quiz dédiés à notre Bayonne !
Ah… j’allais oublier… certains d’entre-vous m’ont posé des questions, sachez que toutes les réponses et explications se trouvent dans l’onglet du menu du haut intitulé « Bayonnades ».
En ce matin de juin 1978, le carreau des Halles a l’aspect d’une énorme fourmilière, et pour cause, nous sommes samedi c’est-à-dire jour de grand marché .
Sur les quais et sous les arceaux, les nombreux grossistes et leurs équipes de ripeurs s’affairent à finir de décharger les poids-lourds, ranger, négocier, trier, peser et recharger dans des véhicules plus légers les marchandises à livrer toujours dans l’urgence.
Parmi les ripeurs (Ouvriers spécialisés dans la manutention) se trouvaient quelques personnages d’exception, je vais vous raconter aujourd’hui l’un des plus hauts « faits d’armes » de l’un d’entre eux, surnommé « Riton* »…
*Afin de ne pas nuire à sa réputation actuelle, j’ai volontairement dissimulé son vrai nom.
Il est environ 5h30…
Notre Riton s’emploie chez l’un des grossistes du Quai Galuperie. Comme il le précise lui-même (mais jamais devant son patron), son principal objectif consiste à « travailler intelligemment », c’est à dire de façon moderne, traduisez en évitant de trop en faire…
Ce jour-là, n’ayant personne disponible sous la main, son patron lui demande de prendre une palette de tomates, de la charger dans le fourgon puis d’aller livrer le tout au Printafix de la rue Orbe, mal lui en prit…
Riton fort de son sens inné de l’organisation et de son souci de l’optimisation, juge qu’il aura bien plus vite fait d’aller livrer la palette de tomates (environ 350kgs) directement avec le transpalette…
Il estime donc parfaitement inutile de perdre du temps (et surtout de se fatiguer outre mesure…).
C’est au moment où son patron entre dans la chambre froide que notre Riton profite de cette brève « fenêtre de tir » pour s’emparer du manche du transpalette et de son contenu sans se faire voir, puis commence à le tirer vers le pont Marengo (côté Musée Basque).
Bien entendu, l’ensemble étant trop lourd pour un seul homme aussi costaud soit-il, notre Riton nous fait un signe discret pour que nous lui donnions un coup de main.
J’avoue que même à trois, nous avons eu peine à parvenir en haut de la pente.
Une fois notre Riton et son attelage sur le pont, nous retournons rapidement finir de décharger le camion en cours sur le quai devant chez Yves Metge.
Une catastrophe annoncée
Nous n’avons pas le temps d’arriver qu’un énorme fracas suivi d’un impact nous cloue sur place !
Notre premier réflexe est de nous retourner pour voir si c’est le pont ou un immeuble qui s’est effondré, mais rien…
Ce n’est qu’une fois revenus au pas de course sur le pont Marengo que nous prenons conscience du préjudice, presqu’en même temps que… le patron de Riton alerté lui aussi par cet énorme fracas !
En bas du pont côté « Bazar Central », s’étend devant nous une véritable scène d’apocalypse.
Le transpalette a fini sa course encastré à 45° dans l’entrée du magasin , non sans avoir éjecté auparavant les 350kgs de tomates !
Comme vous vous en doutez ces dernières se sont, soit écrasées net (donc sans souffrance), soit ont roulé, ou sont encore en train de le faire sur un espace qui n’en finit pas de s’agrandir…
Mais où est passé Riton ?
Pas bien loin, en fait notre livreur de choc est assis sur les marches du pont, en train de tirer fiévreusement sur une « Gitane » contemplant d’un air hébété le spectaculaire épilogue de son coup de fainéantise.
Lorsque son patron furieux l’interroge sur la raison du carnage, il lui répond d’un air aussi détaché qu’innocent « comprend pas ce qui s’est passé, sans doute un trou sur le pont, vu son état d’entretien ça ne m’étonnerais pas ! »
Préférant éviter toute échange qu’il n’est même pas sûr de remporter connaissant le lascar au champ lexical inépuisable , le patron désespéré retourna au magasin tout et se demandant comment il allait bien pouvoir expliquer cette « bavure » à son assureur.
Tout le monde mit la main à la pâte (si j’ose dire) afin de récupérer le plus grand nombre de tomates possible, mais en pure perte car la circulation et l’agitation à cette heure sont trop intenses.
Vers 8 heures du matin, rien n’est encore nettoyé, plus de 2 heures après l’incident le carreau des Halles a des faux airs de La Mongie en période de dégel, mis à part la couleur de la chaussée, des trottoirs, du quai…
Les voitures, fourgons et autres camions n’ayant eu d’autres choix que d’avancer, ont écrasé au passage une quantité phénoménale de tomates, à tel point qu’une épaisse trainée rouge recouvre la chaussée du bas du pont Marengo jusqu’au bout de la rue Port de Castets d’un côté, et jusqu’au pont Pannecau de l’autre.
Il va de soi que le tour et même l’intérieur des Halles ont également bénéficié de cette piperade pour le moins inattendue.
De fait les crampons de 12 deviennent fortement recommandés pour les malheureuses mémés arrivées (trop) tôt faire leurs emplettes…
Pour l’anecdote, on ne sait pas comment elles sont arrivées là, mais on a même retrouvé des tomates sous les tables du bar « Chez Rémy » !
Mais que s’est-il donc passé ?
Souvenez-vous, nous lui avons donné un coup de main pour monter sur le pont, et l’entraide de l’époque est telle que nous sommes certains qu’il y aura des âmes charitables pour l’aider de l’autre côté, dans la descente… mais pas là… pas ce jour-là….
Au lieu d’attendre un peu que quelqu’un arrive, notre Riton, sûr de sa technique parfaite et téméraire de nature, a légèrement sous estimé la poussée avant d’entamer sa descente en solo, avec le transpalette et 350kgs de tomates tout de même !!!
Ce qui devait arriver arriva, ne parvenant plus à contenir la cargaison, et voyant la situation lui échapper, notre Riton n’a eu d’autre alternative que de jouer les écarteurs, façon Michel Agruna… avec le résultat que l’on connait.
Inutile de vous préciser qu’avant d’aller voir son assureur, le patron de Riton a sans délai tiré les leçons de cette mémorable aventure en lui interdisant « à vie » de s’approcher à moins de 5 mètres de tout transpalette.
Il lui a en quelque sorte retiré son permis (presque à point)
Il faut noter que Riton notre livreur de choc nous a fait connaitre d’autres grands moments, l’épisode de la palette de tomates ne constituant qu’un échantillon pour ne pas dire un concentré, car un jour il a fait mieux, bien mieux, mais ça c’est une autre histoire que je vous raconterais prochainement…
Autre anecdote :
Récemment lors d’un repas à la maison, lorsque je lui ai rappelé cet épisode peu glorieux, notre Riton m’a juré qu’il ne s’en souvenait pas, mais alors pas du tout, que j’avais du « rêver » ! Bonne foi quand tu nous tiens…